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Cette commune s’est primitivement appelé Sanctus Ciriccus in pallio. Saint Cyr n’avait que trois ans lorsqu’il subit le martyre. Il fut emmené à Tarse par sa mère, Julitte, afin d’échapper aux persécutions contre les chrétiens. Celle-ci est arrêtée et torturée sous les yeux de son enfant, qui finit par mordre le juge persécuteur, mais la vengeance de ce dernier fut terrible. Saint Cyr est le patron des scieurs de long. Ce nom viendrait, d’après Rostaing, du gréco-latin Cyricus, nom de deux martyrs du IVe siècle, et pour le nom de Pail, les avis divergent. Il pourrait venir du latin pallium, ou du latin palea, balle de blé et par extension, paille (une prairie au cœur d’une zone boisée) ou également du latin palus, marais (une zone anciennement très marécageuse).
Un miracle, a contrario, s’est produit lorsqu’une jeune fille venant prier dans la chapelle Notre-Dame-des-Anges, pour tenter de mettre fin à une terrible sécheresse, fut frappée de paralysie
·Saint-Cyr-en-Pail abrite une partie du site Natura 2000
de la forêt de Multonne, ainsi qu'une partie du site Natura 2000
du  « 
bocage de la forêt de la Monnaie à Javron-les-Chapelles »


·Saint-Cyr-en-Pail est la commune la plus élevée du département,
avec 311 mètres.

·Les habitants de cette commune sont appelés des Saint-Cyriens.

·Sa superficie est de 2051.02 km².

·Elle est l’une des 26 communes de la Communauté de Commune Mont des Avaloirs (CCMA)
L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte
L’église dédiée à Saint Cyr et Sainte Julitte fut construite entre 1859 et 1875. De style néogothique, elle est en forme de croix latine. La statuaire , caractéristique du 19è siècle, est saint-sulpicienne. Le 4 mai 1930, M. Eugène Horeau, maire et le conseil municipal décident la réfection du clocher. Le 6 mars 1931, bien que les travaux soient commencés, la flèche s’effondre. Le clocher sera refait mais pas la flèche faute de moyens. Ce clocher servira de tour d’observation pendant la Seconde Guerre Mondiale. 

Château de la Robinière. Le château, tel qu'il est aujourd'hui, fut achevé en 1787.  
Mais on retrouve ses traces jusqu'en1577.  
La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours